Voilà, j'ai décidé de faire quelques chapitres sur Singe, ce fameux singe jaune que tout le monde (ou presque), apprécie. Pour l'instant je n'ai pas écrit grand chose, il y a juste ma participation au concours. Bien sur, elle sera améliorée par la suite. Il faut déjà que je mette tous les éléments dans les chapitres précédents pour pouvoir ainsi développer cette dernière partie, le chapitre final, "ze baiste auffe ze baiste", la cerise sur le gâteau au spéculoos de Zout', bref il y a énormément d'expressions pour le décrire.
Pour en revenir au premier chapitre, je ferais ça prochainement, j'ai déjà quelques idées de sa composition
~ Chapitre 1 : L'enfance de singe, comme un ouragan ~
Il était une fois l'histoire de Singe, un singe jaune. Celle-ci commença il y a relativement longtemps, dans une contrée plane, vaste, avec quelques arbres verts et feuillus, venant nuancer avec le néant désertique de la savane avec ses herbes séchées. Dans ce drôle de paysage, les jours étaient très chauds, et les nuits très froides. Malgré ces conditions de vie très peu favorables, certaines espèces animales peuvent y vivre, comme les mangoustes, les phacochères... et une espèce relativement rare de primates, les singes jaunes. Ils étaient classés à part car ils sont dotés d'une intelligence et d'une motricité formidables, comparable aux adultes humains.
Pour en revenir à notre héros, il naquit de deux parents assez différents. Sa mère était très affectueuse, très protectrice, elle adorait le câliner des heures durant. Elle vient s'opposer à son père qui, lui, le reniait totalement. Quand ses premiers mois furent arrivés, sa mère essaya de lui apprendre des premiers mots, ainsi que lui promettre quelques serments.
- Siiiiinge, dis « Maman », allez ! Maaaaaaa-maaaaaaan !, dit la mère de singe en prenant soin de bien articuler à chaque syllabe de Maman.
- Mmmmmmougna, répondit Singe.
- Mais non, pas « Mougna », ce n'est pas un mot, dis « Maaaamaaaan ».- Mmmmm..., il hésita quelques instants et continua,
...mmmmougnah ?!, avec un grand sourire.
- Rah, tu ne fais pas d'efforts...- Laisses le tranquille, veux-tu, il est débile et c'est comme ça, affirma avec une voix grave son père, en entrant dans la pièce où étaient situés Singe et sa mère.
- Non, j'y tiens, je veux vraiment qu'il parle mon petit chouchou chéri.- C'est un bon à rien, il ne sert à rien, et il ne deviendra rien.- Je ne suis pas d'accord avec toi. Je suis sur qu'il deviendra quelqu'un de très intelligent, et je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour le protéger.- Moi, je ne le ferais pas, même si il a besoin d'une aide des plus urgentes.- Tu es méchant avec ton fils quand même !- C'est comme ça que ça fonctionne, ici.
~ Que va-t-il se passer ? Le père va-t-il changer d'avis par rapport à Singe ? Ce dernier deviendra-t-il quelqu'un de bien ? Vous saurez ça dans un prochain épisode ! =D ~
~ Chapitre terminal : le singe et le restaurant oriental ~
Il était une fois, dans le pays des
peupliers géants, un
singe jaune du nom de "Singe". Dans ce pays, toutes les habitations sont construites en hauteur, dans les peupliers, formant ainsi d'énormes villages qui s'étendent aussi bien en largeur et en longueur qu'en hauteur. Singe n'était pas très riche, il n'avait pas une très bonne réputation, et il était juste ouvrier dans les réseaux de transports en commun qui relient les différentes villes, les babouins express. Ce transport s'appelle comme ceci pour plusieurs raisons : tout d'abord, les habitants du pays des peupliers géants détestent les babouins, et les 2 cabines composant ce véhicule de transport ressemblent à 2 fesses de babouins, d'où l'idée de faire le reste du corps au dessus, et
donc de le
nommer ainsi.
Singe revenait d'une journée assez intense de travail, il devait nettoyer le plus rapidement possible chaque véhicule pour ne pas mettre en retard tout le transport. Pour se vider la tête, il alla se balader dans la plus grande rue commerçante de la ville, "Monkey Road", qui était totalement éclairée grâce aux enseignes
électriques de toutes les couleurs et de toutes les tailles, donnant ainsi une atmosphère de joie et de bonne humeur. En voulant
contourner une zone où des passants étaient agglutinés devant une boutique spécialisée dans les parapluies pour mamies, une douce odeur alla caresser son nez, qui provoqua dans les secondes suivantes un énorme bruit de son estomac. C'était le moment pour lui de manger après cette dure journée de labeur. Il alla sur le
coté de la Monkey Road pour suivre cette odeur délicate, et entre un
club de musique douce appelé Keion et une échoppe de canards en plastiques, se trouvait un petit restaurant
oriental, spécialisé dans les kebabs. Un poulet avec une petite chemisette jaune avec un gros kebab dans le dos chantait à tue tête : « Mange du kebab-euh, mange du kebab-euh, mange du kebab-euh... » . Singe, après avoir entendu cette chanson attirante et cette odeur agréable, ne se posa pas la question pendant une éternité : c'est là qu'il va dîner.
En arrivant, un second poulet restaurateur l'invita à s'installer sur une table, et lui a demandé sa commande : pour Singe, cela sera un menu kebab XXXXL avec double portion de frites, ainsi qu'un Ice Tea pour faire passer le tout. Le restaurateur lui prépara ça d'un tour de main, on pouvait sentir l'expérience dans ses de mains, et servit en quelques minutes le plat complet à Singe. Celui ci le mangea très rapidement, car la faim ne peux pas attendre. Après un petit rôt discret, prouvant qu'il était repus, il pris un
magazine près de la porte, fit semblant de le lire, ouvrit la porte et partit sans payer. Malheureusement, ce n'était pas sans compter l’enquête active du détective Canard, un génie de l'anti-criminalité ! En effet, Singe était
accusé de nombreux vols, dont son mode opératoire fétiche, partir du restaurant sans payer.
Le détective Canard avait suffisamment de preuves pour pouvoir l'accuser de récidive, et ainsi faire tomber la peine maximale : la peine de mort. Après un procès très rapide, Singe fut emmené sur le
pont de la mort, et comme son nom l'indique, il a exécuté d'un coup de banane en pierre sur la tête comme le veux la tradition.
Ici se finit donc l'histoire de Singe, le singe jaune. Si nous devons résumer son histoire en quelques mots et en tirer une morale :
''tel est pris qui croyait prendre''. Nous pouvons aussi en proposer une autre, plus joyeuse : ''Voler c'est bien, ne pas se faire prendre c'est mieux''. Singe ne vécut donc pas heureux pour l'éternité, et il n'eut pas beaucoup d'enfants.
Légende : Les mots en gras sont les différents mots que l'on devait employer pour ce concours. J'ai aussi inséré une petite vidéo dedans pour permettre une meilleure compréhension de tous. En espérant que ça vous as plu!
Dim 23 Oct - 20:52
~
